Coup de Coeur Parisien : Chinaski . Test du Brunch / Déjeuner et du Dîner!
Attention pépite!
Ce restaurant, je l'ai découvert par hasard en passant par le quartier Mouffetard un dimanche de Novembre. Il était midi, j'avais faim... Alors j'ai embarqué Le Gourmand et ma petite poussette pour un brunch improvisé
Nous nous sommes confortablement installés à "la table du Chef", derrière laquelle un jeune cuisinier virevoltait à un rythme endiablé!
Je ne m'attendais à rien de particulier... Et je me suis pris une claque gustative!
Pour vous planter un peu le décor, j'ai commandé une pita au chou-fleur rôti et oh, surprise, j'ai observé avec ahurissement le chef préparer une pita maison sous mes yeux... Voilà qui n'est pas banal dans ce type de petite adresse aux allures de coffee shop!
En bouche, le résultat fut sans appel : une merveille. Un équilibre parfait entre le chou-fleur rôti, la généreuse sauce au sésame et la fameuse pita maison moelleuse à souhait.
En face , c'est le parmentier de canard / purée de patates douces qui fut largement validé par Le Gourmand.
Impossible de s'arrêter en si bon chemin alors Go pour LE dessert de la maison : le pain perdu de compétition qui te fait immédiatement oublier tous les autres. Il est servi avec des fruits d'hiver poêlés et une chantilly maison aérienne et à peine sucrée.
Vous savez que je ne m'emballe pas souvent pour ce style de desserts mais là, c'est une folie, ni plus ni moins!
On commande également la compote de pommes façon Chinaski et on voit débouler un superbe bol dressé avec minutie, recouvert de crumble et de lamelles de pommes (à seulement 4 euros, mazette!)!
On n'oublie pas l'excellent café noisette pour terminer ce festin et on ressort de là avec l'impression d'avoir découvert un trésor caché, à un tarif plus que raisonnable qui plus est (9 euros la pita, 12 euros le parmentier et 8 euros l'énorme pain perdu...)!
Fort de cette première expérience, nous décidons de nous y attabler la semaine suivante pour le dîner cette fois.
Nous découvrons alors une toute autre ambiance et même un autre cuisinier qui officie : Jean-Adrien Buniazet (passé par le Meurice et chez Dersou, oui oui!). Evidemment, je demande une nouvelle fois à être installée à la table du chef, histoire de ne rien louper du spectacle qui m'attend.
La carte est à nouveau très courte avec 2 choix d'entrées, de plats et de desserts, le tout pour la modique somme de 35 euros.
Nous débutons le repas par un velouté de butternut aux noisettes torréfiées.
Très simple... mais très bon!
Par la suite, je découvre avec ravissement mon plat d'omble chevalier, servi avec des patates douces rôties et des oignons grelots grillés. J'adore ce poisson que l'on ne retrouve que rarement à la carte des restaurants Parisiens.
Impeccablement cuit, il est ici d'un fondant remarquable. Je me régale!
Nous concluons le dîner en apothéose avec une ganache chocolat / caramel / sarrasin particulièrement délectable.
Ultra gourmand tout en étant raffiné et original à la fois. J'en salive rien que de revoir les photos...
Après ce beau moment de régalade, je rejette alors un coup d’œil au prix du menu : 35 euros, vraiment? Une bien belle performance dans la capitale!
Au final, je dois dire que midi comme soir, j'ai adoré l'expérience Chinaski, où j'ai eu la sensation assez déroutante d’être attablée dans la cuisine d'un ami (ami qui cuisine très bien hein, entendons-nous bien!).
Et voilà, tout est dit. Je vous laisse avec quelques photos de l'équipe particulièrement sympatique avec une mention toute spéciale pour Jean-Baptiste, surnommé pour l'occasion "le Roi du Cerfeuil"... Comprenne qui pourra!
Ce restaurant, je l'ai découvert par hasard en passant par le quartier Mouffetard un dimanche de Novembre. Il était midi, j'avais faim... Alors j'ai embarqué Le Gourmand et ma petite poussette pour un brunch improvisé
Nous nous sommes confortablement installés à "la table du Chef", derrière laquelle un jeune cuisinier virevoltait à un rythme endiablé!
Je ne m'attendais à rien de particulier... Et je me suis pris une claque gustative!
Pour vous planter un peu le décor, j'ai commandé une pita au chou-fleur rôti et oh, surprise, j'ai observé avec ahurissement le chef préparer une pita maison sous mes yeux... Voilà qui n'est pas banal dans ce type de petite adresse aux allures de coffee shop!
En bouche, le résultat fut sans appel : une merveille. Un équilibre parfait entre le chou-fleur rôti, la généreuse sauce au sésame et la fameuse pita maison moelleuse à souhait.
Pita au Chou-fleur rôti, sauce au sésame |
En face , c'est le parmentier de canard / purée de patates douces qui fut largement validé par Le Gourmand.
Parmentier de canard / purée de patates douces |
Impossible de s'arrêter en si bon chemin alors Go pour LE dessert de la maison : le pain perdu de compétition qui te fait immédiatement oublier tous les autres. Il est servi avec des fruits d'hiver poêlés et une chantilly maison aérienne et à peine sucrée.
Vous savez que je ne m'emballe pas souvent pour ce style de desserts mais là, c'est une folie, ni plus ni moins!
Brioche perdue |
On commande également la compote de pommes façon Chinaski et on voit débouler un superbe bol dressé avec minutie, recouvert de crumble et de lamelles de pommes (à seulement 4 euros, mazette!)!
Oui, ceci est une compote de pommes... façon Chinaski! |
On n'oublie pas l'excellent café noisette pour terminer ce festin et on ressort de là avec l'impression d'avoir découvert un trésor caché, à un tarif plus que raisonnable qui plus est (9 euros la pita, 12 euros le parmentier et 8 euros l'énorme pain perdu...)!
Fort de cette première expérience, nous décidons de nous y attabler la semaine suivante pour le dîner cette fois.
Nous découvrons alors une toute autre ambiance et même un autre cuisinier qui officie : Jean-Adrien Buniazet (passé par le Meurice et chez Dersou, oui oui!). Evidemment, je demande une nouvelle fois à être installée à la table du chef, histoire de ne rien louper du spectacle qui m'attend.
La carte est à nouveau très courte avec 2 choix d'entrées, de plats et de desserts, le tout pour la modique somme de 35 euros.
Nous débutons le repas par un velouté de butternut aux noisettes torréfiées.
Très simple... mais très bon!
Velouté de butternut |
Impeccablement cuit, il est ici d'un fondant remarquable. Je me régale!
Omble chevalier, patates douces rôties, oignons grelots grillés |
Nous concluons le dîner en apothéose avec une ganache chocolat / caramel / sarrasin particulièrement délectable.
Ultra gourmand tout en étant raffiné et original à la fois. J'en salive rien que de revoir les photos...
Ganache au chocolat / caramel / Kasha |
Après ce beau moment de régalade, je rejette alors un coup d’œil au prix du menu : 35 euros, vraiment? Une bien belle performance dans la capitale!
Au final, je dois dire que midi comme soir, j'ai adoré l'expérience Chinaski, où j'ai eu la sensation assez déroutante d’être attablée dans la cuisine d'un ami (ami qui cuisine très bien hein, entendons-nous bien!).
Et voilà, tout est dit. Je vous laisse avec quelques photos de l'équipe particulièrement sympatique avec une mention toute spéciale pour Jean-Baptiste, surnommé pour l'occasion "le Roi du Cerfeuil"... Comprenne qui pourra!
A très vite,
Claire au Matcha
Chinaski
46 Rue Daubenton
75005 Paris
Claire au Matcha
Chinaski
46 Rue Daubenton
75005 Paris
Ouvert du mercredi au dimanche midi et soir
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